Le carnaval d'été se déroule tous les ans le dernier dimanche d'avril depuis l'après- guerre.
Il débute dès le samedi par une grande soirée de spectacles gratuits avec des groupes invités d'honneur. Mais la ducasse (fête foraine) est installée sur la Grand'place depuis le mercredi.
Le carnaval d'été international de Steenvoorde
Le carnaval d'été se déroule tous les ans le dernier dimanche d'avril depuis l'après- guerre.
Il débute dès le samedi par une grande soirée de spectacles gratuits avec des groupes invités d'honneur. Mais la ducasse (fête foraine) est installée sur la Grand'place depuis le mercredi.
Le dimanche à partir de 15 heures, le cortège se forme en centre ville avec les six géants de Steenvoorde : Jean le Bûcheron, Jacobus (le fils de Jean le Bûcheron), la Belle Hélène (géante des amis de Gambrinus de Steenvoorde), Rosalie (géante des amis du Ryveld), Jean-Charles l'écolier (géant de l'association "Des plus petits aux plus grands"), Edgar le motard (géant du moto-club steenvoordois).
Les géants sont accompagnés par la société philharmonique de Steenvoorde puis par les groupes musicaux, folkloriques et carnavalesques invités. Le cortège parcourt la ville et se termine vers 16h30 par une présentation finale des groupes sur la Grand'place. La fête se poursuit le soir avec des animations musicales en ville et dans des estaminets.
La ronde européenne de géants portés
Régulièrement, à partir de 1989, le carnaval d'été prend une dimension exceptionnelle et porte alors le nom de ronde européenne de géants portés. Cette fête se caractérise par un important rassemblement de géants portés et de leurs groupe. La date de cette fête est choisie en fonction du 1er mai qui a l'avantage d'être férié partout en Europe. Ainsi, les groupes qui viennent de loin, constitués de bénévoles accompagnant les géants invités, peuvent bénéficier d'un "pont" leur permettant d'effectuer le voyage.
Les amis de Fromulus ont créé ces rassemblements afin de promouvoir les géants portés. "Un géant non porté ne danse pas, donc il ne vit pas" est le credo de l'association qui, à la fin des années 1980, déplorait que les géants sur roulettes soient de plus en plus nombreux et que l'on trouve de moins en moins de porteurs.
Le festival se déroule sur trois jours :
- Le vendredi, une grande soirée d'ouverture est proposée aux groupes participants et aux Steenvoordois. C'est une soirée d'accueil festive, gratuite et ouverte à tous. Pour le président des amis de Fromulus, "il est difficile mais important de bien recevoir 500 personnes dans une ville de 4000 habitants" : 400 bénévoles sont mobilisés pour la logistique et l'organisation de la fête. Il faut loger et nourrir les invités dont certains viennent de loin, chez l'habitant, dans des gîtes ou à l'hôtel parfois hors de Steenvoorde.
- Le samedi après-midi, un premier cortège se met en place avec les géants étrangers déjà arrivés sur place (une quarantaine de géants). Des animations sur le thème du gigantisme sont proposées, puis un bal des géants invités en fin d'après-midi, et une soirée sous le chapiteau animée par les groupes musicaux, où des repas sont servis.
- Le dimanche matin a lieu la réception officielle à la Mairie pour souhaiter la bienvenue aux représentants des groupes et des géants invités avec échange de cadeaux. À 10 heures commence le montage des géants et à 12 heures le repas pour les 2000 participants. À 15 heures, c'est le départ du cortège des géants accompagnés de leurs groupes et de leurs musiques (chaque géant vient avec sa musique) qui parcourra cinq kilomètres à travers la ville de Steenvoorde envahie par la foule.
Tous les géants sont alignés les uns derrière les autres. Le dernier géant de la file commence à marcher le premier, suivi de tous les autres, et passe devant tous les géants alignés, permettant ainsi à chaque participant du défilé de voir l'ensemble du cortège. Le défilé se termine sur la Grand'place où tous les géants accompagnés de leurs groupes sont présentés au public. Puis les géants dansent ensemble sur un air de musique joué par la société philharmonique de Steenvoorde.
Le soir un repas sous le chapiteau est offert aux participants avec une animation par les groupes musicaux.
Pour le Président des amis de Fromulus, "c'est une fête unique au monde qui montre la diversité et l'origine des géants en un seul lieu".
Les amis de Fromulus renouvellent le plus possible la liste des géants invités à chaque ronde européenne. Un des seuls géants qui participe à chaque édition depuis 1989 est Jan Turpijn, le géant de Nieuwpoort (Belgique) devenu un emblème de la fête par son gigantisme (11 mètres de haut, nécessitant 24 porteurs pour se déplacer).
Le géant Jean le Bûcheron mesure 4,90 mètres et il pèse 90 kilos, il est porté par deux personnes. Le géant représente un personnage légendaire, un bûcheron d'une grande force qui aurait secouru le village de Steenvoorde au temps de Charlemagne. Jean le Bûcheron est casqué, il porte sa hache sur l'épaule. Son costume à lambrequins est vert et rouge et sur sa cuirasse peinte, il porte le blason de la ville.
Le géant Jacobus mesure 2,50 mètres et pèse 15 kilos, il est animé par un jeune porteur. C'est le fils de Jean le Bûcheron, baptisé en 2004. Il porte un costume festonné dans les tons orangés et verts.
La structure du géant Jean le Bûcheron est en aluminium et sa tête est en toile enduite montée sur une structure en bois.
La structure du géant Jacobus est en bois et la tête est en résine polyester.
Les rues de Steenvoorde.
L'association les amis de Fromulus
Créée en 1914, l'association a pour objet l'organisation de fêtes à Steenvoorde ainsi que la promotion et la défense des géants traditionnels portés. Aujourd'hui sous l'impulsion de Michel Sansen, troisième président de l'association, celle-ci compte deux sections : une section adultes composée de trente hommes environ et une section enfants, composée de 15 enfants, filles et garçons. À l'âge de 16 ans, les enfants peuvent passer dans la section adultes. L'association est animée par deux permanents salariés et les bénévoles.
Le géant Jacobus a été créé en 2004 pour permettre aux jeunes générations de participer aux fêtes et ainsi d'apprendre et de pratiquer le portage des géants.
La grande famille des géants
Enracinés dans la culture locale et régionale, les géants sont environ 500 au nord de la France. En Belgique, ce sont plus de 1500 géants qui animent les fêtes locales. La tradition est aussi très vivante en Espagne avec plus de 2000 géants, notamment en Catalogne. Il est difficile de dénombrer les géants, précisément parce qu'il s'agit d'un patrimoine vivant : certains géants disparaissent pour renaître parfois plusieurs années plus tard, et de nouvelles effigies apparaissent tous les ans.
D’origine médiévale, les géants de l’Europe occidentale sont nés des processions communales et religieuses dès le XVe siècle. Ces figures gigantesques illustrent alors des épisodes de la Bible (Goliath), des récits de la Légende dorée (Saint Christophe) ou des histoires du cycle de Charlemagne (Cheval Bayard et les fils Aymon). Aujourd'hui, les géants ont perdu leur caractère religieux et ils témoignent de la richesse historique et culturelle liée à l'identité locale. Emblèmes d’une ville, d’un quartier, d'une association, ces grands mannequins d'osier représentent des héros historiques ou légendaires, des figures locales, des métiers, des animaux, des dragons...
L'âme collective du géant
Construits pour être portés par une ou plusieurs personnes, les géants dansent et animent les rues de la cité, accompagnés de leur musique. Ils sont associés à la vie de la communauté qu'ils représentent, qui les fait vivre et danser : ils peuvent se marier et avoir des enfants, s'inviter entre eux, voyager... donnant lieu à de grandes fêtes populaires.
Elément visible du patrimoine immatériel de la communauté dont il constitue le symbole, le géant favorise le lien social et il contribue à raviver la mémoire collective. Suivant les ressources humaines et matérielles, le géant est porté ou se déplace sur roulettes. Il peut mesurer de deux mètres pour les géants enfants à plus de quatorze mètres de haut pour le géant de Nieuport, qui nécessite vingt-quatre porteurs.
Les géants à la fête
S’il y a bien un élément qui rassemble le monde divers des géants, c’est la fête ! Qu’ils soient français, belges ou espagnols, les géants défilent dans les ducasses, les kermesses ou les fêtes patronales. Ils s’amusent et dansent au gré des sorties carnavalesques. La fête donne un sens au géant ; le géant donne un sens à la fête. Dans le sud de la France, les animaux totémiques comme la Tarasque de Tarascon ou le Poulain de Pézenas sont indissociables de leurs fêtes tout comme les géants du nord de l’Europe.
Si les géants émergent de ces festivités, ils ne sont pas seuls. Les personnages gigantesques et les animaux fantastiques font partie d’un ensemble d’éléments et de traditions. Tantôt, ils sont entourés de chevaux-jupons, d’hommes de feuilles ou de diables, tantôt, ils s’intègrent à un cortège haut en couleurs, avec des chars de fantaisie, des groupes historiques ou des ensembles musicaux.
Les géants ne se contentent pas de défiler. Ils aiment jouer avec le public. A Mons (Belgique), la queue du dragon est happée par la foule qui arrache les crins porte- bonheur. A Cassel, la foule retient les géants Reuze Papa et Reuze Maman pour des danses qui n’en finissent plus. Les géants du Meyboom, à Bruxelles, profitent de leur légèreté et de leurs bras mobiles pour taquiner le public dans de grands mouvements de va-et-vient.
Au-delà, aller voir danser les géants, c’est surtout se retrouver, partager un moment privilégié avec des amis ou avec sa famille.
Le géant dans l'espace public
Le géant est souvent considéré comme le citoyen modèle de la cité, qu’il soit ouvrier, enfant, seigneur ou paysan. Sa place est dans la rue et il symbolise de façon festive l’appartenance à une communauté. Par exemple, à Douai, les Douaisiens s’appellent entre eux “les enfants de Gayant”.
La fête du géant, fête de rue, est liée à des repères identifiés comme “lieux de vie” de la ville : mairie, commerces, places, cafés, constituent autant de haltes ludiques et festives sur le parcours du géant et du cortège. Or, l’évolution du tissu urbain ne va pas dans le sens du maintien d’un environnement propice aux géants, dont le passage est parfois empêché par les aménagements et le mobilier urbains. Dans les nouveaux quartiers constitués de grands ensembles, les géants trouvent difficilement leur place : ici “écrasés” par la taille des immeubles et des tours, là, incongrus dans des voies privées, des lotissements dortoirs sans magasins, sans cafés, sans vie collective. La fête populaire calendaire et le géant apportent du merveilleux et de l’enchantement ; ils transforment ainsi le regard porté sur l’environnement quotidien, révélant l’espace public dans toutes ses dimensions.
De génération en génération
Depuis la fin des années 1970, les géants connaissent une véritable "poussée démographique" en Belgique et dans au nord de la France. Le même mouvement
s’observe aussi en Catalogne espagnole. À l’origine de la naissance d’un nouveau géant, il y a toujours le rêve et la volonté d’un groupe de personnes, d'associations, d'élus... Doit-on y voir la volonté de retrouver ses racines et l’"authenticité" des traditions, la nécessité pour les collectivités locales de renforcer leur identité ou tout simplement le plaisir de faire la fête ? Peut-être tout cela à la fois.
Les glorieux anciens regardent ce phénomène avec intérêt. Des cités comme Douai, Cassel, Ath, Termonde ou Malines voient les géants défiler depuis de nombreuses générations. Les porteurs se succèdent de père en fils, les artisans transmettent leur savoir-faire, les cuisinières s’échangent la recette des plats de fête.
La fabrication traditionnelle des géants
Au nord de la France, les premiers géants attestés (XVIe siècle) étaient construits en osier et les têtes sculptées dans le bois. Aujourd'hui, la plupart des géants portés ont une structure en osier et bois. C’est le matériau de prédilection pour fabriquer un géant, qui fait la particularité des géants du nord de la France et de la Belgique.
Depuis le XIXe siècle, d’autres matériaux et techniques ont parfois remplacé l’osier et la vannerie comme le fer, l’aluminium, les lattes de bois, la résine polyester, le grillage etc. Mais ces matières sont souvent plus lourdes et moins adaptées que l’osier qui, par sa souplesse et sa légèreté, reste le matériau préféré. De plus, l’osier permet de structurer l’ossature du géant tout en lui donnant sa forme. Il se marie bien avec le tissu car il n’est pas coupant et n’écorche pas ce dernier. Souvent, lorsqu’il est remplacé par d’autres matériaux, c’est parce que les vanniers se font rares...
Aujourd'hui pour réaliser les têtes et les mains, le plâtre et le carton pâte sont plus souvent utilisés que le bois. En fait, c’est la légèreté du matériau qui prime dans le choix du créateur. Le carton pâte a encore ses partisans mais la résine polyester est aujourd’hui souvent employée, rendant cependant le géant plus lourd.
De nombreux savoir-faire interviennent donc dans la création d’un géant : il faut travailler le bois, le cuir, l’osier et le rotin, le plâtre, le métal, le papier, les matériaux synthétiques, les tissus, le crin de cheval, les cheveux... Beaucoup d’heures de travail sont nécessaires à toute une équipe pour créer un beau géant.
Car l’apparence du géant est importante mais aussi les techniques employées pour favoriser son portage, son entretien et sa conservation. Aussi fait-on souvent appel à des artisans géantiers, professionnels qui ont expérience et savoir-faire. Mais le géant est aussi parfois réalisé "avec les moyens du bord", de façon bénévole par les membres d'une association.
Les carnavals d'été
Autrefois la fête avec le géant Jean le Bûcheron avait lieu à la mi-Carême, mais pour des raisons climatiques la date a été déplacée au dernier dimanche d'avril (carnaval d'été). Le premier géant représentant Jean le Bûcheron (appelé aussi Yan den Houtkapper) a participé au grand cortège carnavalesque pour les fêtes de la mi-Carême le 22 mars 1914, organisées par la société les amis de Fromulus. Le géant s'appelait alors Reuze Van Steinfort (géant de Steenvoorde).
À partir des années 1990, cette fête est devenue carnaval d'été international parce qu'elle a accueilli des groupes étrangers. En 2013, le carnaval d'été international s'est appelé "le carnaval des carnavals" pour fêter le centenaire de l'association les amis de Fromulus, avec l'invitation des meilleurs groupes venus se produire à Steenvoorde depuis 100 ans parmi ceux qui existent toujours.
Les rondes européennes de géants portés
Le 30 avril 1989 est organisée la première ronde européenne de géants portés à l'occasion du soixante-quinzième anniversaire de Jean
le Bûcheron, avec 31 géants invités et trois pays représentés. C'est la première fois que des géants catalans espagnols participent à un rassemblement de géants dans le nord de la France.
Devant ce succès, une deuxième ronde européenne de géants portés est organisée en 1993, année de l'ouverture des frontières européennes : ce ne sont pas moins de 100 géants venus de six pays qui défilent à Steenvoorde. En 2000, 100 géants venus de 10
pays de l'Europe se rassemblent autour de Jean le Bûcheron pour fêter le nouveau millénaire. La capacité d'accueil et de logistique de Steenvoorde (4000 habitants) ne permet pas aux amis de Fromulus d'accueillir davantage de géants.
La quatrième ronde européenne de géants portés venus de 12 pays européens et d'autres continents a lieu en 2006. Des géants du Burkina Faso, du Brésil et du Québec sont accueillis à Steenvoorde pour la première fois. En 2012 s'est déroulée la cinquième ronde européenne de géants portés à Steenvoorde avec des géants provenant de 13 pays dont trois hors d'Europe : le Burkina Faso, le Brésil et la Colombie. La sixième ronde est programmée pour le 30 avril 2017.
La pratique des rondes de géants est ancienne. Dès la fin du XIXème siècle, favorisés par l'arrivée des moyens de transport modernes, des rassemblements de géants ont lieu dans le nord de la France et en Belgique.
On peut par exemple citer les suivantes.
1848 : Inauguration du chemin de fer à Dunkerque avec des géants invités 1897 : Promenade des géants à Dunkerque
1903 : Promenade des géants des Flandres à Roubaix pour la pose de la première pierre et au profit du nouvel hôpital de la Fraternité
1910 : Congrès des géants à Valenciennes
1956 : Cortège des géants du nord de la France et de Belgique à Lille
1962 : Cortège des géants à Dunkerque lors des fêtes du tricentenaire du rattachement de Dunkerque à la France.
À partir des années 1980, les rassemblements de géants se sont multipliés dans le nord de la France. Aussi bien les géants français que les géants belges, catalans espagnols, hollandais, autrichiens, italiens, se sont invités pour des festivals tels que la ronde européenne de géants portés de Steenvoorde.
1982 : Trobada internacional de gegants à Matadepera en Catalogne espagnole
1992 : Trobada internacional de gegants à Matadepera en Catalogne espagnole. Cette rencontre internationale de géants a réuni plus de 600 géants venus du monde entier.
1994 : Rassemblement de géants pour l'inauguration du tunnel sous la Manche 1994 : Rassemblement de géants à Maastricht, Pays Bas
1999 : Pour le baptême des géants Lydéric et Phinaert de Lille, plus de 150 géants ont été invités à la fête.
2004 : Rassemblement de géants pour la fête d'ouverture de Lille 2004, capitale européenne de la culture
Modes de valorisation
• Plaquette
• Guide
• Exposition
• Festival
• Site internet
• Boutique
Actions de valorisation et modes de reconnaissance publique (niveaux local, national, international)
L'association les amis de Fromulus édite des documents, livres, plaquettes, calendriers, DVD, valorisant le patrimoine des géants et plus particulièrement les rondes européennes de géants portés. Des financements sont accordés par la Ville de Steenvoorde et des demandes de financement "au projet" déposées auprès de la Communauté de communes, du Département du Nord et de la Région Nord-Pas-de-Calais.
Ouvrages de référence concernant les géants et leurs fêtes
- Chaussois (Robert), Géants du Nord-Pas-de-Calais, La Sentinelle, Éd. le Téméraire, 1998
- Codron (Christine), Filatriau (Jean-Pierre), Sous les jupes des géants, Lille, La Voix du Nord, 1999
- Coussée (Bernard), Deleurence (Stéphane), Vandenberghe (Philippe), Géants d'ici, Lille, Éd. Bernard Coussée, 1986
- Ducastelle (Jean-Pierre), Gheusquin (Marie-France), De Sike (Yvonne), Twyffels (Brigitte), Willemart (Jacques), Géants et dragons, Tournai, Casterman, 1996
- Ronde des Géants (La), Au pays des géants, éd. La Ronde des Géants, 1981
Dates et lieu(x) de l’enquête : 17 décembre 2013, Steenvoorde
Date de la fiche d’inventaire : 23 décembre 2013
Personne(s) rencontrée(s) :
• Michel Sansen, président de l'association les amis de Fromulus
• Lucie Ducourant, permanente de l'association les amis de Fromulus
Localisation (région, département, municipalité) :
Région du Nord-Pas-de-Calais, département du Nord (59), commune de Steenvoorde
Nom de l'enquêteur ou des enquêteurs : Stéphane Deleurence et Nicole Cugny
Nom du rédacteur de la fiche : Stéphane Deleurence et Nicole Cugny (la Ronde des Géants), avec la collaboration de Séverine Cachat (Centre français du patrimoine culturel immatériel - Maison des Cultures du Monde)
N° d'inventaire Ministère Culture : 2013_67717_INV_PCI_FRANCE_00324
Identifiant ARK : <uri>ark:/67717/nvhdhrrvswvk290</uri>
Comment contribuer à l'inventaire : la méthode : http://pcilab-new.huma-num.fr/contribuer
Accéder à la fiche sur Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Steenvoorde
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