Elle a lieu tous les premiers dimanches de septembre, moment proche des vendanges ; Jour de la Saint-Just, saint patron d'Arbois ; et anniversaire de la libération de 1944. Le Biou est officiellement organisé par la Société de Viticulture et la Fruitière Vinicole ainsi que par la municipalité d'Arbois.

Le Biou est officiellement organisé par la Société de Viticulture et la Fruitière Vinicole ainsi que par la municipalité d'Arbois. Cependant, plusieurs acteurs participent à des degrés différents à son élaboration et à son déroulement. Le Biou débute la veille du week-end de fête par un moment privé durant lequel se réunissent quatre vignerons ; les porteurs du biou. Ce mot désigne tout à la fois la fête (le Biou), mais aussi l'un de ses objets particuliers : une grosse grappe de raisin (le biou). Lors de cette réunion, les porteurs définissent ou redéfinissent leurs rôles propres et se concertent sur les améliorations et modifications à apporter à la fête et à son organisation. 

Le lendemain matin, le samedi, les vignerons d'Arbois et de l'AOC viticole d'Arbois vont cueillir des grappes de raisins blancs et rouges dans leur domaine pour les apporter en un même lieu, à la grange d'une maison appelée Maison Vercel, du nom de l'un de ses ancien propriétaires, ami d'enfance de Louis Pasteur.
La fabrication du biou se déroule le samedi après-midi, des grappes étant encore apportées à ce moment. Il est donc confectionné à partir de grappes de raisins blancs et noirs accrochées, en bandes alternées sur un moule de paille recouvert d'une armature métallique. La confection est principalement prise en charge par les porteurs sous le regard des autres vignerons, des membres de leurs familles, enfants et parents, de proches venus à l'occasion de la fête et d'Arboisiens. Les enfants des porteurs peuvent accrocher quelques grappes, d'anciens porteurs participent à la confection en accrochant les grappes ou en coupant des morceaux de fil de fer servant à les accrocher. Parallèlement dans la même pièce est fabriquée, par d'autres acteurs et sur un autre support, une couronne de raisins selon un même principe d'assemblage de grappes de raisins blancs et rouges. Des piques et hallebardes sont aussi décorés de raisins, cette fois-ci généralement par des enfants, des femmes et des personnes âgées.
 
Le temps de la fabrication est le premier moment de rassemblement et de retrouvailles entre les Arboisiens, les vignerons et entre les générations. À l'issue de celui-ci, les personnes présentes partagent ensemble du vin crémant du Jura offert par le président de la Société de Viticulture, ce qui vient clore ce moment.
 
Le dimanche matin tôt, avant que ne commencent les défilés, l'un des quatre porteurs du biou part cueillir dans ses vignes des pampres avec lesquels il décore la couronne de raisins et les piques. Les pampres serviront aussi à feuiller le biou, ce que fait ensuite l'horticulteur d'Arbois qui le coiffe aussi avec des fleurs.Il apporte également dix-huit bouquets qu'il a confectionnés ; ils seront remis par le président de la société de Viticulture aux notables, c'est-à-dire les personnalités invitées.
A lieu ensuite le défilé du biou. devant la Maison Vercel, se forme un cortège dans lequel prennent place les quatre vignerons portant le biou suspendu à un brancard, précédés d'un groupe de violonistes, issu de l'école municipale de musique. Tout au long du parcours il joue en ritournelle un répertoire composé de deux mélodies populaires et festives. Derrière le biou suivent le maire et le président de la Société de Viticulture et à leur suite , les notables. Viennent ensuite tous ceux qui le désirent, des familles et leurs invités, vignerons, groupes d'amis... Les vignerons se distinguent dans le cortège par le port de piques, deux d'entre eux en avant et portant des piques aux armes de la ville règlent la cadence du cortège tandis que les autres l'encadrent. Cette année, les deux premiers sont le président de la Fruitière Vinicole d'Arbois (coopérative de vinification) et le plus âgé des anciens porteurs.
 
Le défilé remonte ainsi la ville jusqu'à l'église Saint-Just où le biou est accueilli par le clergé. Entré dans l'édifice, il est accroché à un filin, béni par l'officiant (prêtre de la paroisse ou invité) et élevé dans le chœur. S'ensuit une messe dans laquelle l'officiant convoque tour à tour les images du pressoir divin ou de la Grappe de Canaan, mais aussi celles de l'entraide ou des vignerons comme communauté. Ainsi, l'accent est mis tout à la fois sur la relation entre l'humain et une surnature, sur la relation entre les humains permettant ainsi à chacun, croyant ou non-croyant d'adhérer à l'office. Pendant celui-ci, chaque porteur prononce une intention de prière. Les thèmes, qui ont été répartis entre chacun lors de la réunion des porteurs reviennent chaque année allant du plus centré sur la communauté (le biou comme signe d'union du collectif vigneron) au plus ouvert (le souhait de voir un monde solidaire et uni à l'image des grappes assemblées sur le biou). Vers la fin de la messe, les porteurs seuls se rendent dans la sacristie pour y partager ensemble du vin et une brioche, apportés chaque année à tour de rôle par l'un d'eux, dans une sorte de réplique de la célébration de l'eucharistie. L'ensemble des membres du cortège ne participe pas à la cérémonie religieuse, certains rebroussant chemin à l'entrée du bâtiment, d'autres attendant l'élévation de la grappe pour sortir de l'église. D'autres assistent à l'office tout en ne lui conférant qu'un caractère d'héritage culturel, sans le lier à l'existence d'une surnature. À la sortie de la messe, les notables déposent leurs bouquets au monument aux morts, proche de l'église.
 
Retour est fait ensuite au lieu de confection où prend corps un second cortège, cette fois derrière la couronne de raisins portée par deux jeunes vignerons coopérateurs à la Fruitière Vinicole. Celle-ci, précédée d'une fanfare marchant au pas de sa musique, est d'abord suivie de porte-drapeaux, des pompiers de la ville, puis du président de la Société de Viticulture et du maire et d'un membre du conseil municipal des enfants, de représentants de collectivités territoriales (communauté de communes, conseils régional de Franche-Comté et général du Jura) et le l'État (préfet du département), d'élus départementaux (députés ou sénateurs). Ensuite prennent place là encore ceux qui le veulent (habitants, vignerons). On peut assister à ce défilé comme à celui du biou en simple spectateur dans la rue ou depuis sa fenêtre.
 

Le défilé se dirige cette fois-ci au monument aux morts auquel la couronne est accrochée et où sont déposées des gerbes. Le maire prononce là un discours, pour une part commémoratif ; ce jour étant l'anniversaire de la Libération d'Arbois à la fin de la seconde guerre mondiale. C'est la mémoire de ceux qui ont contribué à faire Arbois qui est commémorée, commémoration au cours de la quelle apparaissent des thèmes relatifs à la tolérance et au respect des différences, à la communauté historique que forment Allemagne et France.

Le moment public de la fête du Biou se clôt par un vin d'honneur offert à l'ensemble des participants par les vignerons arboisiens et de l'AOC Arbois. Il est composé de leurs productions et se déroule dans un lieu public de la ville, un square ou une rue. Ordinairement, le repas du dimanche du Biou est festif et familial, peuvent aussi y être conviés les amis proches.

- Les moules du biou et de la couronne, le brancard servant à porter le biou.

- L'ensemble des éléments bâtis, urbains et monumentaux de confections, de parcours, et de célébrations.

Le raisin constitue le principal élément utilisé pour la fabrication du biou et de la couronne. Dans un registre symbolique, l'assemblage des raisins issus de différents domaines viticoles d'Arbois et de son AOC est présentée comme l'expression du vignoble arboisien. La réunion de ces grappes pour ne former plus qu'une devient également l'image de l'union des vignerons.

Le biou est une figure de la récolte de l'année. Autrefois sa taille indiquait l'importance de celle-ci. Aujourd'hui l'importance relative de chacune des couleurs de raisins et leur ordonnancement, la présence ou non de certains cépages font signes de l'année viticole. Lorsque le biou comporte deux bandes de raisins rouges et une bande de raisins blancs, la récolte est ordinaire. L'inverse témoigne d'une année exceptionnelle, du caractère précoce de la récolte. La présence de cépages comme le poulsard (ou plousard) et le savagnin sur le biou est le signe de conditions météorologiques favorables à la vigne.

- Différentes parcelles du vignoble

- Différents espaces bâtis, monumentaux et urbains de la ville

La charge de porteur du biou se transmet par désignation. Un porteur souhaitant l'abandonner choisit son successeur qui doit être propriétaire vigneron, arboisien, et avoir un minimum de convictions religieuses. Le choix se fait selon une parenté réelle ou intellectuelles (rapport à la religion, similitude dans les façons de travailler la vigne...). La transmission s'effectue oralement, aucune règle n'est écrite. La charge est donnée pour un temps indéterminé. Le porteur doit s'en montrer digne, en particulier par la qualité de son travail viti-vinicole. Chacun des porteurs est initié par son prédécesseur et les membres du groupe, à cela s'ajoutent imprégnation, observation et imitation.

Les porteurs de la couronne de raisins sont adhérents à la Fruitière Vinicole. Les jeunes coopérateurs sont sollicités par le président de la Fruitière pour prendre cette charge, la jeunesse des porteurs figurant l'avenir du vignoble. Elle peut être refusée. Une fois acceptée, elle peut être exercée une année ou plus.

Certains rôles particuliers dans l'organisation et le déroulement de la fête se transmettent entre membres d'une même famille, là encore par observation et imitation. Cela vaut par exemple pour la charge de suspendre et de dépendre le biou dans le choeur de l'église qu'une famille arboisienne se transmet depuis trois générations, pour celle de coiffer le biou de fleurs qui revient à l'horticulteur d'Arbois, héritier de l'entreprise familiale ou pour la confection de la couronne. Mais aussi pour la garde du matériel de confection du biou et de la couronne (moules, brancard).

Plus largement, dans les familles arboisiennes ou/et vigneronnes la pratique de la fête se transmet de génération en génération, qu'il s'agisse de participer à la confection du biou ou de la couronne, aux cortèges, à l'une ou l'autre des cérémonies ou aux deux.

Enfin, nouveaux habitants d'Arbois et amis sont conviés à participer à la fête et ainsi à la découvrir. Les explications et commentaires donnés par les arboisiens constituent une forme d'apprentissage du Biou.

Les premières mentions connues du Biou figurent dans les délibérations du Conseil de ville du 9 septembre 1665 et du 31 août 1666. On peut faire l'hypothèse que son existence est antérieure.

Son sens originel d'"offrande des prémices de la récolte au saint patron de la paroisse" ou à Dieu lui confère son caractère religieux bien qu'aujourd'hui la fête soit saisie de manières multiples et qu'on lui attribue une pluralité de sens.

Au XVIIe siècle, ce sont aux gardes-fruits (vignerons désignés chaque année de fin août à début novembre par l'autorité municipale afin de veiller sur le vignoble et éviter ainsi les risques de maraude) à qui revenait l'acte d'offrande du biou ou plutôt des bious, puisque c'est au nombre de deux qu'ils apparaissent dans les délibérations du Conseil de la ville du 31 août 1666, l'un étant déposé devant la statue de Saint-Just, patron de la paroisse, l'autre devant l'autel de Saint-Vernier, patron des vignerons. Dans d'autres délibérations du Conseil de ville de la même époque, le biou, aussi appelé chapeau de Saint-Just, est conduit à l'église paroissiale par un cortège dans lequel prennent place le maire ou l'un des échevins et les garde-fruits armés de leurs piques. Le biou est suspendu en avant de l'autel de l'église. Nous ne savons pas si le biou possède déjà sa forme et sa configuration actuelle.

Au XIXe siècle sous le Second Empire, un des maires de la ville décide d'inscrire l'offrande des garde-fruits au programme des réjouissances de la fête d'Arbois. À cette époque le cortège avec en tête le maire et ses deux adjoints suivis des fonctionnaires, des pompiers, de la musique et de la gendarmerie conduit le biou à l'église où il est béni. S'en suit un apéritif ou plutôt "une collation bien arrosée".

De 1885 à 1889 sous la IIIe République, dans un élan anticlérical, les garde-fruits nommés par un maire républicains refusent de participer à l'offrande du biou. C'est alors la Société de Viticulture (fondée en 1858) qui s'en charge, soutenue par le vigneron Jules Vercel et son ami d'enfance Louis Pasteur (propriétaire d'une maison familiale et une vigne à Arbois) qui, en 1885, prend la tête  du cortège et sera arrosé en représailles par l'un des pompiers à la sortie de la messe. En 1888 et 1889, après l'élection d'un nouveau maire républicain très clairement anticlérical, deux bious sont faits, l'un chez Jukes Vernel avec les membres de la Société de Viticulture qui, en présence de Louis Pasteur, est apporté à l'église ; l'autre, fabriqué par les gardes-fruits uniquement de raisins rouges est suspendu à l'une des fontaines de la ville.

Dans les faits, les inimités cesseront là. En 1890, la Société de Viticulture remplace définitivement les garde-fruits, le biou est confectionné chez Jules Vercel où débute le cortège dans lequel prennent  place des  vignerons portant des piques, et est porté jusqu'à l'église où il est suspendu et béni.

À partir de 1922, c'est-à-dire après la première guerre mondiale, une couronne de raisins coexiste avec le biou, déposée, elle, au monument aux morts. Aujourd'hui, plusieurs sens lui sont attribués. En premier lieu, elle participe d'une double commémoration: des arboisiens et vignerons morts lors de la guerre 1914-1918, des libérateurs d'Arbois de l'Occupation allemande en 1944 (la libération de la ville a eu lieu le 4 septembre 1944, date proche de la fête). Ainsi la couronne rend hommage à ceux qui ont permis le monde dans lequel on vit et envers lesquels on se pense redevable. En second lieu, la couronne offerte par la Fruitière Vinicole d'Arbois est l'expression de cette fédération, de l'union de vignerons ayant su s'organiser ensemble, à partir de 1906, pour faire face aux difficultés économiques engendrées par la concurrence des vins du Midi et par la grève des impôts, et pour réagir face à la crise du phylloxéra touchant le vignoble arboisien. En dernier lieu, la couronne est signe des conflits passés entre blancs et rouges, entre cléricaux et laïcs. En ce sens, elle est trace de cette opposition.

Aujourd'hui la coexistence du biou et de la couronne dans la fête fait de celle-ci une espace de pacification dans lequel le collectif prend acte de ses dissensions et dissemblances internes tout en s'affirmant comme collectif. Les narrations locales du Biou donnent lieu à celle de bious exceptionnels ou particuliers, qui malgré les catastrophes météorologiques ou les temps de crise, ont eu lieu. Pour exemple, l'évocation récurrente du Biou de 1944, ou plutôt des bious, un premier sous l'Occupation où les porteurs ont traversé la seuls la ville et un second, quelques jours plus tard, une fois Arbois libérée, où cette fois les Arboisiens furent présents. Ces récits font valoir sa permanence et son ancrage temporel, et par là la continuité d'un collectif localisé.

Le vignoble d'Arbois constitue une part importante du vignoble jurassien, l'un des plus petits vignoble français, caractérisé par une majorité d'exploitations de petite taille, et de vignerons vinifiant eux-mêmes. En 1908, le vignoble arboisien obtient un certificat d'origine et en 1936 une AOC, l'un des premières AOC françaises. C'est l'un des vignobles français où la pratique biologique est la plus implantée.

À l'initiative de la municipalité, un travail de recherche, portant en particulier sur les modalités d'attachement du Biou, soutenu financièrement et scientifiquement par la direction régionale des Affaires culturelles de Franche-Comté, a été entrepris à partir de septembre 2011.

Il a fait l'objet de plusieurs rapports et a été présenté en juin 2012 au colloque pluridisciplinaire les territoires du vin à Angers ainsi que lors des journées européennes du patrimoine en septembre 2012 à la Saline royale d'Arc et Senans. Il a également donné lieu à la réalisation d'un film documentaire qui sera prochainement diffusé auprès d'un large public (scolaires, habitants d'Arbois, personnes âgées...). Chaque année, le Biou d'Arbois fait l'objet d'une publication dans la presse locale.

Le site internet de la ville lui consacre également une page dans sa rubrique "culture et patrimoine" ainsi que dans sa programmation culturelle du mois de septembre. Le Biou a été diffusé, en tant que patrimoine, dans l'émission Des racines et des ailes sur la chaine nationale de télévision France 3 le 7 novembre 2012. Une exposition sur le Biou est programmée par la municipalité au musée de la vigne et du vin d'Arbois pour l'automne 2013 et enfin, cette même années, une publication aux éditions Sekoya est prévue.

La participation des Arboisiens, des vignerons et d'habitants des villages environnants, en un sens, fait acte de reconnaissance du Biou d'Arbois au niveau local tout comme y contribue également la présence de représentants politiques: de l'État, de la Région, du Département.

Le Biou est également connu via les jumelages internationaux de la vile d'Arbois : Hausach en Allemagne, Panciu en Roumanie.

Un dossier de candidature Unesco est en cours de constitution. À cette occasion, par différents dispositifs participatifs, le Biou est apparu dans l'espace public, hors de sa période de réalisation.

- AILHAUD Flavie ; BARBE Noël, 2012. S'attacher/être attaché au Biou 1, rapport de recherche, Ville d'Arbois/DRAC de Franche-Comté

- AILHAUD Flavie ; BARBE Noël, 2012. S'attacher/être attaché au Biou 2, rapport de recherche, Ville d'Arbois/DRAC de Franche-Comté

- BOESPFLUG Bernard, 2013. Le Biou d'Arbois, film documentaire, IRIMM production, 47 min.

- GIBEY Roger. Le Biou d'Arbois: un rite immuable ?, conférence organisée par Pasteur Patrimoine Arboisien, Arbois, 30 janvier 2010

- GRISPOUX Pierre. "Le Biou d'Arbois", in Réalités franc-comtoises, n°189, 1976 : 337-340

Personne(s) rencontrée(s)

- Les membres de la Société de Viticulture

- Les quatre vignerons portant actuellement le biou et d'anciens porteurs

- Le président de la Société de Viticulture et anciens présidents

- Le président de la Fruitière Vinicole d'Arbois

- Des anciens maires d'Arbois

- Deux des prêtres de la paroisse d'Arbois

- Des familles ou des indvidus impliquées dans certaines étapes de la préparation ou du déroulement de la fête : horticulteur, fabricants de la couronne, ceux qui font monter le biou dans l'église

- Les violonistes du défilé, l'organiste de l'office religieux, un membre d'une fanfare

- Des historiens locaux

- Des Arboisiens et Arboisiennes par l'intermédiaire d'urnes et de livres d'or installés dans les lieux publics de la ville, ou d'entretiens

- Des résidents de la maison de retraite et des membres du club du troisième âge

- Des élèves des écoles primaires

 

Localisation (région, département, municipalité)

Franche-Comté, Jura, Arbois

Adresse : Mairie d'Arbois. 10, rue de l'Hôtel de Ville

Ville : Arbois

Code postal : 39600

Téléphone : 03 84 66 55 55

Site web 

 

Dates et lieu(x) de l'enquête : septembre 2011, décembre 2011, mars/avril 2012, septembre 2012

Date de la fiche d'inventaire : janvier 2013

Nom de l'enquêteur ou des enquêteurs : Flavie Ailhaud et Noël Barbe

Nom du rédacteur de la fiche : Flavie Ailhaud et Noël Barbe

Dans le cadre des dispositifs délibératifs mis en place pour l'élaboration du dossier de candidature du Biou à l'Unesco, un groupe de travail constitué de membres tirés au sort au sein de la Société de Viticulture a été créé. Il a validé cette fiche d'inventaire.

N° d'inventaire Ministère Culture : 2013_67717_INV_PCI_FRANCE_00314
Identifiant ARK : ark:/67717/nvhdhrrvswvk2dn

Comment contribuer à l'inventaire : la méthode : http://pcilab-new.huma-num.fr/contribuer
Accéder à la fiche sur Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Biou_d'Arbois

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