Une raquette

 

Le xare est une raquette au cordage souple, fabriquée artisanalement et destinée au jeu (ou « spécialité ») de pelote basque appelé lui aussi xare. Il est constitué d’un cadre - formé par une tige de noisetier courbée, dont les deux extrémités sont reliées pour former un manche - et d’un tamis appelé « poche », en ficelle nouée évoquant une toile d’araignée. Il mesure 57 cm de long et 17 à 18 cm au plus large de la tête.

Une fabrication en trois grandes étapes

1) Le cadre en noisetier La première étape est la cueillette du bois en hiver, en forêt ou au bord des chemins. Les tiges de noisetier bien droites, d’1,50 m de long environ et d’1,5 cm de diamètre, sont coupées puis écorcées encore vertes et séchées à l’air libre quelques jours. La mise en forme s’effectue en deux temps. La tige est d’abord chauffée au-dessus d’un radiateur ou à l’aide d’un chalumeau et placée sur un gabarit (large de 17 à 18 cm) pour prendre une forme d’anse. Les deux extrémités de la tige sont reliées temporairement à la base pour former le manche. Quelques jours plus tard, le cadre est placé dans un châssis métallique, de sa fabrication, qui lui donne un galbe déterminé. Ce galbe varie selon que l’instrument est destiné à un joueur avant ou arrière, généralement l’équipier avant joue avec un xare plus galbé et donc une poche plus profonde. Les extrémités de la tige sont ensuite coupées pour que l’ensemble mesure environ 57 cm, puis reliées définitivement par un clou. Enfin les cadres sont stockés pour séchage pendant une année complète. Dans le cas observé, le bois n’est pas verni car le fabricant estime que c’est une matière vivante qu’il vaut mieux laisser « respirer » et « travailler ». Le fabricant doit savoir au préalable si le joueur qui maniera le xare est droitier ou gaucher. Car chaque tige présente un côté plus épais que l’autre. Lorsqu’on tient le xare face à soi, le côté le plus épais doit être de préférence à droite pour un droitier c'est-à-dire positionné dans la première fourchette interdigitale (entre le pouce et l’index), « à l’intérieur de la main, car c’est là qu’on appuie le plus ».

2) La poignée (ou le manche). Un trou est créé avec une perceuse, à deux centimètres au-dessus de la base du manche, dans lequel on fait passer un anneau de ficelle doublé de 80cm. Le fabricant prend ensuite cinq mètres d’une ficelle de deux millimètres de diamètre. Il effectue une boucle d’environ quinze centimètres, laisse dépasser le bout le plus court de dix centimètre à la base du manche pour la terminaison de la poignée. Puis, en serrant fort à la base du manche, il remonte en faisant des spires serrées sur une longueur de douze centimètres. A ce moment-là, il passe le bout restant dans la boucle et tire sur le bout restant à la base du manche jusqu’à ce que la boucle ne soit plus visible et soit entée entre le bois et la ficelle. Certains joueurs ajouteront du chatterton ou du grip pour que la poignée ne glisse pas à cause de la sueur et surtout pour éviter la formation d’ampoules sur la main.

3) Le tressage de la poche Cette étape dure approximativement une heure.

Le fabricant commence par attacher trois mètres d’une ficelle fine par un noeud plat au bas du manche, dans le trou percé. Ensuite, il fait suivre à la ficelle le cadre, en effectuant une série de onze noeuds bien répartis symétriquement tout autour du cadre. Il réalise deux premiers tours avec cette ficelle fine. Puis il attache une ficelle plus épaisse (2,5cm de diamètre), moins souple mais plus résistante, de trois mètres de long également et il exécutent trois autres tours de onze noeuds, en prenant soin à la fin de chaque tour, c'est-à-dire en revenant à la base, de toujours passer la ficelle dessus-dessous, de façon à réaliser le tressage particulier situé au-dessus du manche.

Il prend ensuite quatre mètres et demi de grosse ficelle pour effectuer un sixième tour, toujours avec le même noeud. Arrivé à la fin de ce tour il ne doit plus passer dans la boucle du bas mais commencer à fermer l’espace vide en allant directement au noeud en face (le premier noeud). Au 7e tour, il s’arrête au noeud n°10 et attache sa ficelle au noeud en face (n°2). Au 8e tour, il saute le point d’attache n°6 (celui tout en haut) et va directement au n°7. A la fin de ce tour, il fait passer la ficelle derrière les points n°3 et n°9.

« La profondeur de la poche vous ne pouvez pas la règlementer, étant donné que c’est de la ficelle et qu’on ne tape pas tous de la même façon, on ne tape pas tous avec la même force, et on n’a pas tous les mêmes habitudes de frappe. Parce qu’il y en a qui frappent - comme les Argentins - tout par côté donc il n’y a pas besoin de beaucoup de poche. Par contre certains - comme ils jouent ici - ils jouent comme au petit gant, donc il leur faut un peu plus de poche effectivement. Mais la poche c’est vous qui la faites, elle n’est pas faite d’office, c’est pour ça que c’est compliqué de jouer à xare. La poche c’est vous qui vous la faites à force de jouer. Au début, elle est assez tendue et puis à force de jouer elle se lâche, les noeuds lâchent, et tout l’art de cette spécialité justement c’est d’arriver le plus vite possible à avoir une poche intéressante pour pouvoir bien jouer avec. Sinon on fait des fautes. Après voilà, ça se travaille. »

Pour protéger la ficelle située à l’extérieur de la raquette, notamment au sommet, des frottements contre le sol ou les murs, le fabricant a pris l’habitude d’apposer un petit morceau d’Elastoplast, de trois centimètres de long sur un de large. « Il y en a beaucoup qui ne prennent pas la peine donc ils me viennent souvent avec les bouts cassés. […] Comme l’Elastoplast il a deux bandes de colle et au milieu il n’y a pas de colle, je mets la colle sur le bois et l’endroit qui n’a pas de colle est sur la ficelle. Ça permet à la ficelle de pouvoir bouger. Parce qu’une fois que ça lâche, ça bouge aussi […] Il y en a qui l’entourent de chatterton ; sauf que la pelote, à force de travailler, ça travaille ici et ça casse là. Tandis qu’avec le système que j’avais trouvé, avec l’Elastoplast, la colle ne l’empêche pas de bouger. Donc ça la protège et elle glisse sur le bois et ça casse moins souvent. C’est des petites combines, à l’usage aussi, en jouant. »

Il effectue également parfois de petites réparations du bois avec de la résine.

 

Le jeu auquel est destiné l’instrument.

La « spécialité » dénommée xare est un jeu indirect (c'est-à-dire qui se joue par l’intermédiaire d’un mur) qui oppose deux équipes de deux joueurs, en trinquet. Les compétitions (organisées par la Ligue de Pelote du Pays Basque et la Fédération Française de Pelote Basque) ont lieu en hiver. Lors de la saison 2012-2013, 111 joueurs étaient engagés dans le championnat de la LLPB (16 benjamins, 15 minimes, 13 cadets, 14 juniors, 32 en 2e série, 21 en 1ère série). Sa pratique hors compétition est devenue anecdotique. Les xaretistes (joueurs de xare) pratiquent généralement au moins une autre spécialité de pelote. Les compétitions de xare existantes ne sont pas ouvertes aux femmes. Le maniement du xare exige à la fois souplesse et force du poignet. La pelote n’est pas frappée (comme avec une pala 4 par exemple) mais cueillie et renvoyée sans être retenue. Souvent avant la partie, les joueurs « font la poche » avec leur poing pour bien détendre la ficelle. Un joueur ne possède généralement pas un mais plusieurs xare dont il « fait la poche » progressivement. En effet, si le xare se brise au cours d’une partie le pelotari a besoin d’en avoir un autre déjà un peu formé pour prendre le relais, car avec un xare neuf il aura du mal à réceptionner et diriger la pelote en la relançant.

Le bois

A. Camino utilise des tiges bien droites de noisetier, coupées en hiver, en forêt ou au bord des chemins. Le châtaigner est également une option mais A. Camino lui préfère le noisetier dont les tiges sont plus longues et beaucoup plus régulières. En Argentine, les xare sont fabriqués avec un bois particulier (saule), appelé mimbre, que le fabricant ne parvient pas à se procurer en France. Il s’est rendu en Touraine, dans un village de vanniers, où les artisans cultivent eux-mêmes leur osier (Villaines-les-Rochers) et y a acheté des pieds pour les planter chez lui et les tester. Les clous sont achetés sans difficulté en quincaillerie.

La ficelle

Trois sortes de ficelle sont utilisées dans un xare. Pour le manche la grosseur de la ficelle importe peu. Il s’approvisionne à la quincaillerie de son village. Pour les deux premiers tours de noeuds, il utilise une ficelle plus souple qu’il ne trouve que dans une quincaillerie, où il passe à chaque fois une commande spéciale car il s’agit de cordeau de maçon (fil à plomb). La ficelle adéquate, pour l’intérieur de la poche du xare, a toujours été difficile à trouver. Au début de sa production, il la faisait venir d’Argentine. Il a trouvé ensuite une ficelle suffisamment fine et souple dans un magasin de travaux manuels à Pampelune (Navarre, Espagne). Et depuis que ce magasin a cessé de la vendre, il s’approvisionne dans une corderie de Saint-Sébastien (Guipuscoa, Espagne). A défaut il lui est arrivé d’utiliser du cordon à macramé.

Un sécateur

Un couteau

Des râpes à bois

Un marteau et des pointes

Un gabarit réalisé par un ami charpentier.

Trois châssis métalliques faits par lui-même (car il était serrurier de métier) à partir de vieux piquets de terre et de vieilles potences d’électricité récupérés lorsqu’il travaillait à EDF. Un ami serrurier lui avait fabriqué un premier, sur le modèle d’un vu en Argentine.

Une perceuse

Une paire de ciseaux

Les fabricants de xare sont peu nombreux, cinq ou six actuellement en France, et ne font pas de leur savoir-faire une profession.

Adrien Camino a appris à fabriquer des xare lorsqu’il était lui-même joueur, dans les années 1970. « Je n’ai jamais été artisan, je fais ça par passion. » Il a découvert le jeu de xare « tout à fait par hasard ». « A la fin des années 60 […]. Un jour je reviens de Tarbes, mon frère avait un xare à la maison et je lui avais demandé qu’est-ce que c’était parce que je ne savais pas ce que c’était, moi, à part le joko garbi que je pratiquais déjà, je ne connaissais pas les autres spécialités de pelote, enfin je connaissais le rebot, je connaissais la main nue et tout ça, mais ça… le xare c’était très très très très confidentiel. Il n’y avait pas de championnat, déjà. Il y avait quelques tournois très confidentiels aussi, un tournoi important à Saint-Palais, au collège […] Et puis il m’a montré ça et il me dit « tiens on va jouer le jeudi » et j’y suis allé avec eux par hasard. J’ai pris un xare et puis c’est une spécialité qui m’a plu, je me suis vite adapté et tout est parti de là. » Il a eu l’occasion d’observer le travail d’un fabricant en Argentine, où il avait séjourné à l’occasion d’une compétition. Il a également suivi en 1984 un stage de fabrication de trois demi-journées organisé par la FFPB avec une dizaine d’autres personnes.

« Moi j’ai appris à faire des xare d’abord pour moi, parce que quand on envoyait nos xare en Argentine [pour les faire réparer] il s’en mettait au moins trois mois pour revenir, quand ça revenait. A partir de là c’était aussi simple d’apprendre et puis faire avec ce qu’on avait comme bois ici. […] J’ai commencé à faire mes xare pour moi et puis comme je les entrainais [les jeunes] j’en faisais pour eux. Et les autres clubs quand ils venaient nous rencontrer ou quand on allait chez eux [me demandaient] « d’où tu as ces xare ? _ Je les fais moi-même, pour les gosses et tout ça ». Bon alors ils étaient beaucoup moins jolis que maintenant mais bon voilà ils jouaient quand-même. […]. Ici personne [n’en fabriquait] à ce moment là. Le prof d’ici5 était trop vieux et les curés de Bétharram je ne les connaissais pas. Donc on avait cette filière [argentine]. Et dans la mesure où j’ai eu la chance d’être sélectionné plusieurs fois [pour le Championnat du monde] et de rencontrer des Argentins, je faisais des échanges. Moi mes échanges c’était l’Elastoplaste / là vous voyez le manche brut sollicite beaucoup le tendon donc je grossissais le manche avec de l’Elastoplaste au début, puisque les grips de raquettes de tennis et tout ça n’existaient pas à l’époque. Donc j’achetais ça à la pharmacie pour pas grand-chose, l’Elastoplaste de trois centimètres. Quand je rencontrais les Argentins eux ils mettaient des vieilles serviettes éponges avec de la ficelle, à cause de la transpiration et pour grossir aussi le manche. Moi je me les travaillais, je faisais le bas plus large que le haut, enfin bon. Quand ils ont vu ça, ça les a intéressés aussi donc je leur ai dit « moi si vous voulez, quand je viens, je vous amène de l’Elastoplaste - parce qu’ils n’en avaient pas - et moi je vous prends les xare à la place ». J’ai fait comme ça pendant plusieurs années, j’ai fait le troc de cette façon. Ça m’a permis d’avoir des xare de chez eux, de voir comment ils étaient cordés, de jouer avec et après au moment où les miens ils étaient au point … je les ai à la maison, je les garde en souvenir. » Il s’est également procuré des exemplaires auprès d’« un prêtre de Bétharram - qui a un certain âge maintenant - qui est allé en Argentine et qui corde différemment de nous aussi. J’en avais acheté deux. Celui-ci je le garde pour le montrer et l’autre je l’avais pris pour éventuellement le défaire pour voir comment c’était fait. Parce que je ne sais pas du tout. Il y a plus de tours de ficelle, le xare n’a pas la même forme, le bois n’est pas le même. » Il s’est servi de xare déjà réalisés comme modèles et a fait des essais de bois et de ficelles divers. Pour former le cadre de bois, il s’est par exemple renseigné sur les techniques des sabotiers. « Avec l’humidité qu’il y a ces derniers temps, les ficelles doivent être assez rêches, assez dures. L’été par contre elles deviennent beaucoup plus souples et elles lâchent beaucoup plus. C’est plus facile de faire une poche l’été que l’hiver. Tout ça c’est des trucs qu’on apprend, / que j’ai appris moi à l’usage. […] je l’ai appris moi-même. Comme de chauffer le bois pour le plier, pour bien le plier, ça non plus je ne le savais pas. Au début j’en cassais beaucoup. Le bois était vert. […] »

Il ne fabrique qu’à la demande. En 2013 par exemple il en a réalisé une dizaine. A son tour il forme occasionnellement d’autres fabricants. Actuellement l’un d’eux fabrique des xare à Paris, un autre est éducateur sportif en Béarn et un joueur de main nue6 du Pays basque l’a sollicité pour une formation prochaine. Il ne fabrique pas les pelotes correspondant à l’instrument. Actuellement, seul un fabricant de pelotes à Ascain les confectionne. A. Camino lui a donné récemment deux pelotes réalisées par un ancien fabricant de Biarritz - « Espel avec qui j’avais réussi à monter une très bonne pelote, comme on avait en Argentine, une pelote où il fallait se baisser pour aller la chercher » -, afin qu’il les examine et puisse éventuellement les reproduire.

5 Un instituteur de l’école privée, à Hasparren, Cose Ayerza, avait appris pendant des années à ses élèves à fabriquer des xare.

6 Une autre spécialité de pelote basque, voir la fiche « La main nue en trinquet ».

Historique général :

Voir la fiche « Pilota / La pelote basque »


 

Historique particulier de l'entreprise, de la personne ou de l'organisme, de la forme d'expression ou de l'espace culturel faisant l’objet de la fiche :

 

Longtemps l’orthographe utilisée fut « sare », qui signifie littéralement « filet » en basque. Sur les premiers documents de la FFPB et de la LPPB consacrés à cette spécialité, on la trouve ponctuellement orthographiée « share » (en 1979 et en 1982), jusqu’à ce qu’en 1986 s’opère un changement définitif au profit de l’orthographe « xare »7. Une autre appellation commune est « raquette argentine ».

L’origine de l’instrument est méconnue.

Selon Blazy (1929), le xare serait inspiré de la raquette de courte paume. Selon Fernández et Bozaz-Urrutia ( 1976), le xare serait une évolution du matsardia - fourche végétale formée de trois branches de la même tige, reliées entre elles avec de la ficelle – qui aurait été créé comme le chistera pour remplacer le gant de cuir trop couteux et trop lourd pour certains pelotaris.

L’hypothèse la plus répandue est que des Basques auraient « inventé » le xare autour de 1850 ou 1860 au moment où se développait le jeu de blaid (ou indirect, c'est-à-dire par l’intermédiaire d’un mur) grâce à l’introduction du caoutchouc dans la confection des pelotes. Des prêtres bétharramites l’auraient ensuite fait découvrir aux pelotaris argentins, qui auraient, eux, conçu le filet actuel. Vers 1932, ce seraient toujours des prêtres de Bétharram de retour d’Argentine qui auraient ramené la nouvelle version du xare au Pays basque (plus précisément à Saint-Palais), où ils auraient contribué à relancer le jeu qui avait entre temps été délaissé. En 1952, ce sont encore deux autres prêtres de retour d’Argentine qui donnèrent un nouvel élan à la spécialité. A. Camino a enquêté après d’anciens joueurs d’Hasparren et a découvert que son village a été un foyer important de développement de la pratique. La mémoire collective a retenu les noms de joueurs haspandards, qui lors de la première guerre mondiale se sont illustrés au xare, surnommé alors « le chistera du pauvre ». Plus tard, dans les années 1950, un enseignant, Kose Ayerza (ou Cose Aierza) avait également appris à ses élèves à fabriquer et manier le xare. Il a été vraisemblablement l’un des promoteurs de la spécialité et un acteur essentiel de cette transmission. Aujourd'hui on joue encore au xare au Pays basque, de part et d’autre de la frontière franco-espagnole, en Béarn, dans les Landes, en Ile-de-France, en Argentine, au Chili, au Mexique et en Uruguay.

7 L’adoption définitive de la graphie « xare » découlerait de l’incapacité des non bascophones à prononcer le « s » palatal (sh).

Des fabricants animent des ateliers de confection de xare en milieu scolaire ou dans le cadre de stages de pelote, tout autant dans un but de valorisation que de transmission.

BLAZY, E. 1929. La pelote basque

DUNAT, J.B.. 2006. « Le Xare », in Pilota, janvier 2006, n°161, p.26

LAGARDE, J.L.. 2006. « Xare », in Pilota, avril 2006, n°162, p.24-26

FERNÁNDEZ Luis “Bombín”, BOZAS-URRUTIA Rodolfo. 1976. El gran libro de la pelota. Deporte universal, Madrid : Delegación Nacional de Educación Física y Deportes / Federación Internacional de Pelota Vasca, 2 Vol.

Dates et lieu(x) de l’enquête : mars à juin 2013, au Pays basque.

Date de la fiche d’inventaire : 30 juin 2013

Nom de l'enquêteur ou des enquêteurs : Cendrine Lagoueyte, Laboratoire ITEM, EA 3002.

Nom du rédacteur de la fiche : Cendrine Lagoueyte, Laboratoire ITEM, EA 3002, programme de recherches « Inventaire du Patrimoine Culturel Immatériel en Aquitaine », Université de Pau et des Pays de l’Adour.

 

 

N° d'inventaire Ministère Culture : 2013_67717_INV_PCI_FRANCE_00301
Identifiant ARK : ark:/67717/nvhdhrrvswvk2dq

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