Le sport-boules, plus communément appelé Boule Lyonnaise, est pratiqué dans toute la France.
A la base, ce jeu consiste à envoyer le plus de boules possibles au plus près d’une petite bille ronde, le but. Il se joue en simple, c’est-à-dire à un contre un, ou en équipe, de deux, trois ou quatre joueurs.
Le sport-boules, plus communément appelé Boule Lyonnaise, est pratiqué dans toute la France. A la base, ce jeu consiste à envoyer le plus de boules possibles au plus près d’une petite bille ronde, le but. Il se joue en simple, c’est-à-dire à un contre un, ou en équipe, de deux, trois ou quatre joueurs. Le nombre de boules à lancer varie avec le nombre de joueurs : en simple, le joueur dispose de quatre boules ; en doubles, chaque joueur possède trois boules ; en quadrettes (trois ou quatre joueurs), chaque joueur dispose de deux boules. Une boule la plus près du but équivaut à un point, et chaque partie se joue en 11 points.
Un premier joueur lance le but et une boule, le plus près possible : cette action s’appelle pointer. Le joueur, en mouvement, fait rouler la boule sur le sol en direction du cochonnet. L’adversaire ou l’un des adversaires lance une boule à son tour pour faire mieux que le premier. S’il y parvient, le premier joueur ou un membre de la première équipe tente de nouveau de reprendre le point, en pointant ou en tirant. Le fait de tirer signifier envoyer sa boule sur une boule adverse pour chasser cette dernière. Ce lancer s’effectue avec une course d’élan, et la boule doit tomber dans l’arc de cercle formé avec le cinquante, baguette de tracé. Il en va ainsi de suite jusqu’à épuisement des boules. Le nombre de points à chaque mène, terme désignant un cycle de lancers de boules, équivaut au nombre de boules le plus près du but pour l’équipe gagnante.
En se sportivisant, le jeu de boules s’est spécialisé pour devenir aujourd’hui, au sein de la Fédération, une discipline sportive qui nécessite précision et concentration, stratégie et qualités physiques et techniques. La boule lyonnaise comprend ainsi deux types de jeu : une boule traditionnelle, comprenant quatre types d’épreuve et une boule sportive, de cinq épreuves. Dans le jeu traditionnel, il n’y a que deux techniques de jeu : pointer et tirer, et les types d’épreuves correspondent aux types d’équipes, simples, doubles, quadrettes à trois ou à quatre. Le jeu sportif est beaucoup plus complexe. L’objectif est ici de réussir des coups gagnants, en fonction de disponibilités diverses (distance, temps, alternance, encombrement d’une cible). Il comprend le tir de précision, le tir progressif, le tir en relais, le tir à cadence rapide et le combiné. Le tir de précision est une épreuve individuelle qui consiste en un parcours d’adresse au tir ; 11 cibles sont disposées sur des alvéoles d’un tapis et le joueur doit, en un certain temps, toucher ou se rapprocher du but à chaque lancer, ce dernier étant déplacé à chaque lancer. Le tir progressif consiste en une course et des lancers les plus rapides et précis possible, de 12 boules situées sur deux tapis à alvéoles de part et d’autre du terrain ; à chaque passage, la distance change et chaque lancer doit être réussi pour passer à la distance suivante. Le tir en relais reprend le principe du tir progressif mais se joue à deux joueurs, l’un prenant le relais de l’autre toutes les quatre boules. Le tir à cadence rapide consiste à toucher le plus de boules possible en un temps imparti, en visant à chaque tour de terrain une boule situé sur un petit tapis ; comme précédemment, deux tapis sont disposés de part et d’autre du terrain et le joueur fait des allers et retours entre l’un et l’autre. Enfin, le combiné est une épreuve individuelle ; le joueur doit réaliser un maximum de coups gagnants sur ses 32 boules, en alternant boules pointées et boules tirées.
Jeunes, femmes et hommes sont représentés dans ce sport et se distinguent par des catégories au sein des clubs. Il existe ainsi une catégorie sénior masculin, qui compte quatre divisions : 1ère, 2e, 3e et 4e; il en est de même chez les femmes, mais à seulement trois divisions : Nationale, 3eet 4e;la division est établie en fonction du nombre de points de chaque joueur et l’accès à la catégorie sénior se fait en fonction de l’âge, c’est-à-dire à partir de 18 ans. Pour les jeunes, il existe six catégories, correspondantes à des âges différenciées : moins de 9 ans, de 9 à 11 ans, de 11 à 13 ans, de 13 à 15 ans, de 15 à 18 ans et de 18 à 23 ans. Les enfants peuvent pratiquer les deux types de sport-boules, jeu traditionnel et jeu sportif, à partir de 7 ans.
La boule lyonnaise comprend un matériel commun aux deux types de jeu, traditionnel et sportif (boule, but, cinquante), et une part de matériel spécifique indispensables aux épreuves de la pratique sportive (porte-boules, tapis alvéolés, boules cibles et boules obstacles, buts cibles et buts obstacles, compas).
Boule : ce sont des éléments sphériques, en métal ou en matière synthétique, de 90 à 110 mm de diamètre, d’un poids de 900 à 1,200 grammes. La boule est choisie en fonction de la taille et de la force de la main ; les femmes et les enfants ont des boules de minimum 800 grammes, d’un diamètre supérieur à 88 mm. Elles peuvent être colorées, lisses ou striées, à motifs géométriques, voire marquées aux initiales du joueur. A l’origine, les boules étaient en pierre ; elles furent ensuite fabriquées en bois, en orne ou en buis, avant d’être ferrée avec des clous pour l’alourdir et la renforcer. A partir de 1923, elle fut fabriquée en bronze d’aluminium, et vidée. Bien que creuses pour la plupart, certaines sont rembourrées d’éléments en caoutchouc ou de ressorts, dans le but d’améliorer sa capacité raclante, c’est-à-dire atténuer son rebond.
But : c’est une petite boule de bois, généralement du buis, de couleur uni, qui mesure entre 35 et 37 mm de diamètre. Il ne doit être ni ferré, ni gravé. Il est aussi désigné comme « petit » ou « bouchon ».
Le cinquante : ce terme désigne une baguette de traçage au sol des cadres et lignes de jeu. C’est une tige en métal, généralement en inox, qui mesure 50 cm de longueur pour un diamètre de 4 à 6 mm, qui se termine par une pointe recourbée à l’équerre de 50 mm de hauteur. Elle sert également à évaluer les distances.
Le joueur dispose généralement d’un sac et d’un chiffon en peau de chamois pour nettoyer, ranger et transporter ses boules. Bien que sans obligation quant à une tenue particulière, il se doit à une tenue correcte et homogène pour toute l’équipe.
Les porte-boules : il s’agit de piquets surmontés de socles, qui permettent de mettre des boules à disposition pour le joueur. Ils doivent se situer entre 60 et 100 cm du sol.
Les tapis à alvéoles : toujours verts et en matière synthétique, épais de 6 mm à plus ou moins 0,05 mm, et larges de 0,75 m, à plus ou moins 0.05mm. Ils comprennent des trous d’un diamètre de 20 mm, qui constituent des emplacements pour les boules. Ces emplacements ont pour rôle de délimiter les zones de tir, ce qui équivaut à 50 cm. Selon le type d’épreuve, les alvéoles varient : elles sont au nombre de 11 pour un tapis de 6m de long, à plus ou moins 0, 05mm pour le tir de précision ; elles sont six pour un tapis de 5,20 mètres de long pour le tir progressif, un seul trou et une longueur de tapis de 1,50 mètres pour le tir à cadence rapide.
Boules cibles : elles sont blanches, en matière synthétique, de 100 mm de diamètre.
Boules Obstacles : elles sont rouges, en matière synthétique, de 95 mm de diamètre.
Buts cibles : ils sont blancs et mesurent 36 mm de diamètre.
Buts obstacles : ils sont rouges et mesurent également 36 mm de diamètre.
Compas : appelés également compas, ils servent à la pratique du combiné, permettant de tracer des cercles de 140 cm de diamètre.
A Lyon se trouve l’usine Intégrale, fabrique de boules lyonnaise. La fabrication d’une boule comporte plusieurs étapes. Le métal doit tout d’abord être élaboré : il s’agit d’un mélange d’aluminium, de cuivre, de nickel et de fer, appelée cupro-aluminium. Il est chauffé dans un creuset à 1 100 °, puis coulé dans un moule. Diamètre et poids de la boule dépendent de la coquille utilisée et du noyau de sable central inséré dans la coulée de métal. La boule est ensuite refroidie, le noyau de sable éliminé. A l’usinage, les boules sont remplies si elles sont vouées à être des boules « racleuses»,ou simplement rebouchées pour les boules creuses. Elle est ensuite équilibrée, puis pesée. Les boules subissent enfin des opérations de finition : striage, marquage et polissage.
Sur le site de la Fédération Française du Sport Boules, une page est consacrée à la vente de produits dérivés. Ils sont de trois types et sont proposés à la vente directe à chaque championnat. Il s’agit d’éléments textiles : casquettes, serviettes de bain, écharpes, carrées de soie et tee-shirts ; d’accessoires divers et variés : set de voyage, brosse-miroir, horloge de voyage, sac, mètre, porte- monnaie, porte-photo, pince-photo, coffret de jeu de boules miniatures, porte-clefs, pendulette, peluche, radio, poignet-éponge, parapluies, stylos, verres, jeux de société, etc. ; et de vidéos et livres concernant la boule lyonnaise.
Il peut s’agir d’espaces extérieurs (clos boulistes, stades) ou intérieurs (boulodromes). Dans les deux cas, le terrain est constitué d’un espace rectangulaire, dit cadre, de 26,5 à 27,5 mètres de longueur et 2,5 à 4 mètres de large selon les catégories de joueurs. Cet espace rectangulaire est divisé en sept zones délimitées par des lignes tracées au cinquante: une aire centrale, mesurant de 11,5 à 12,5 mètres de longueur ; de part et d’autre de cette aire centrale, trois zones se partageant l’espace restant.
Une ligne, appelée ligne pied de jeu ou raie de pied, délimite le début de la zone dans laquelle le joueur doit lancer sa boule. Les deuxièmes zones, immédiatement attenantes à l’aire centrale, mesurent de 3,5 à 5 mètres. Elles sont les zones de déroulement du jeu, la mène ayant lieu une fois dans un sens, une fois dans l’autre. A son extrémité est tracée la ligne dite raie de but, qui indique la distance maximale pour le lancer. Les troisièmes zones, de 1,5 à 3,5 mètres de long, sont des rectangles ajoutés, zones dans lesquelles le jeu peut éventuellement se dérouler. Les quatrièmes zones, à 0,5 mètres du bord, dites « de fond » ou « hors cadre», sont constituées de planches de bois destinées à arrêter les boules. Ce ne sont pas des zones de jeu. Pour être valide, le but doit être lancée dans la troisième zone, entre la raie de pied et la raie de but, soit à une distance minimale de 12,5 mètres du joueur (ou 11,5 selon la catégorie).
Par catégorie, le découpage métré est le suivant :
- Pour les moins de 13 ans, l’aire centrale mesure 9 mètres. La deuxième zone mesure 3,5 mètres et la troisième zone 1,5 mètres.
- Pour les 13 à 15 ans, l’aire centrale est de 11,5 mètres, la deuxième zone de 4 mètres et la troisième de 1,5mètre.
- Pour les femmes, l’aire centrale mesure 12,5 mètres, les deuxième et troisième zones 3,5 mètres chacune.
- Pour les séniors et les moins de 18 ans, l’aire centrale est de 12,5 mètres également, la deuxième zone de 5 mètres et la troisième de 2 mètres.
Les terrains extérieurs sont généralement faits de terre battue, recouverts d’une fiche couche de sable. Les boulodromes sont de plus en plus recouverts d’enrobés à chaud, améliorant la qualité de rebond et plus résistants aux chocs. Ces derniers sont majoritairement situés en région Rhône-Alpes, 300 sur les 500 boulodromes répartis sur tout le territoire.
La pratique de la boule lyonnaise se transmet par initiation. Les premiers pas se font par observation et reproduction de gestes et techniques. Par la suite, pour se spécialiser, il est possible de s’inscrire dans des clubs afin d’acquérir une pratique plus régulière, d’apprendre plus de gestes technique.
Historique général :
Le jeu de boules est probablement l’un des jeux les plus anciens. Les traces les plus anciennes font état de son existence des millénaires avant J-C., sur le pourtour méditerranéen (Grèce, Italie, Egypte) et en Chine. A l’époque, le jeu semble proche de la pétanque actuelle. Les grecs anciens utilisent des pierres rondes, dites « sphériques » qu’ils envoient avec force le plus loin possible ; les romains utilisent des boules en bois cerclées de fer et, préférant l’adresse, semblent être les précurseurs du « but». Le jeu a été introduit en France par les marins phéniciens, se répandant tout d’abord sur la côte méditerranéenne avant de pénétrer la vallée du Rhône.
Il n’en est plus fait mention jusqu’au Moyen Age, époque à laquelle il connut un essor fulgurant. Sa popularité surpasse celle de jeux ou exercices considérés comme plus nobles, tels que le tir à l’arc ou l’arbalète, plus profitables à la défense du royaume que le jeu de boules ; afin de stopper cet engouement, Charles IV puis Charles V l’interdisent. Cependant, au XVIe siècle, le pape Jules II lui redonne une place, mobilisant des « bouleurs » (nom des joueurs) comme lanceurs de pierre pour défendre le Saint-Siège contre les français, les vénitiens et les espagnols. Les guerres franco-italiennes ainsi menées redonnent vigueur au jeu de boules également en France, et déjà, les deux pratiques de part et d’autre des Alpes se différencient. Les français jouent avec des boules de bois garnies de clous, les italiens avec des boules vernies. Cette concurrence montante fait de l’ombre aux fabricants de paumes, qui obtiennent l’interdiction du jeu de boules en 1629. Elle n’est que de courte durée, la pratique du jeu ayant malgré tout perduré.
Historique particulier de l'entreprise, de la personne ou de l'organisme, de la forme d'expression ou de l'espace culturel faisant l’objet de la fiche:
Au XIXe siècle, le jeu de boules s’ancre résolument dans la région Rhône-Alpes, surtout à Lyon, où il est désigné «jeu de grosses boules»,ou encore « la longue » ou « la lyonnaise». Il accède déjà au statut de sport en 1850 avec la création du clos Jouve, la première société bouliste structurée. Au niveau national, cette primauté permet à la boule lyonnaise de dominer toutes les autres pratiques au sein de la Fédération Française de boules pendant des années. A Lyon, la pratique du jeu de boules trouve des terrains de jeu variés : quais bas du Rhône et de la Saône, les « clos » au cœur de la ville, les cours et les places. Le premier concours de boules lyonnaises a ainsi eu lieu sur le cours du Midi (cours de Verdun actuel), à Lyon en juin 1894. Les 15, 16 et 17 avril 1900, pour Pâques, ce même concours est organisé sur la place Bellecour, qui devient dès lors le lieu traditionnel du très réputé Tournoi de Pentecôte jusqu’en 1966. Par la suite et jusqu’à aujourd’hui, il se tiendra au Stade Herriot de Lyon. A la fin des années 1960, les joueurs de boules commencent à se regrouper en fédérations régionales et à se catégoriser, en champions et amateurs par exemple au concours de Bellecour en 1903.
Le 22 mars 1922 est créée l’Union Nationale des Fédérations Boulistes (U.N.F.B.), qui regroupe les joueurs et fédérations du Rhône, du Dauphiné, de l’Ain, de la Savoie et Haute-Savoie, des Alpes-Maritimes et de la Loire. L’année suivante, cette fédération nationale est reconnue car admise au Comité National des Sports. En 1933, l’U.N.F.B. devient la F.N.B., Fédération Nationale des Boules, puis F.F.B., Fédération Française de Boules, en 1942, qui rassemble à la fois les associations sportives, les comités boulistes départementaux et régionaux, et le comité directeur de la Fédération. La F.F.B. est affilée en 1946 à la F.I.B., Fédération Internationale de Boules, qui vient d’être créée. Depuis 1931, les joueurs se distinguaient selon les deux catégories Honneur et Promotion ; une troisième catégorie apparaît avec l’affiliation de la F.F.B. à la F.I.B., celle dite Excellence. L’essor et reconnaissance croissante de cette fédération mène à son admission au Comité Olympique Français en 1957, les boules sont alors un sport de démonstration. En1980,la F.F.B. est affiliée au Ministère de la Jeunesse et des Sports ; puis en 1981, elle devient F.F.S.B., Fédération Française du Sport Boules, ce qui s’accompagne d’un essor des centres de formation boulistes un peu partout sur le territoire français.
Ces regroupements et phénomènes d’institutionnalisation permettent l’organisation et la participation à des championnats. Le premier d’entre eux, le championnat de France, a lieu à Lyon en 1924. Soixante ans plus tard, c’est le premier championnat de France des clubs sportifs, qui met en concurrence 6 équipes. Trois ans après, elles seront 16 équipes à ce même championnat et cette même année, en 1987, sera crée le Championnat de France Cadets et Minimes des centres de Formation Bouliste, ce qui illustre l’essor de ce jeu/sport, notamment chez les jeunes. Le sport- boules sportif comporte cinq types d’épreuves, dont le tir progressif et le tir de précision. Ces deux épreuves furent réunis sous forme d’un combiné pour un premier Championnat de France de Tirs à Périgueux en 1988 ; il est partagé en deux spécialités, le tir de précision et le tir progressif en 1993, chacune faisant concourir 16 boulistes. Sur le même modèle est instauré, toujours en 1993, un championnat régional de tir. En 1996 est organisé le premier Championnat des Clubs Sportifs Féminins ; huit équipes concourent. En 1997, le Sport-Boules participe pour la première fois aux Jeux Méditerranéens. Au début des années 2000, plusieurs championnats sont crées : le Championnat de France de Tirs toutes catégories, et non plus seulement de deux épreuves, qui comprend la coupe de France jeunes, en simple et en combiné, en 2001-2002 ; le championnat de France simple et combiné toutes catégories en 2003 ; et surtout le Championnat National Elite, dit Super 16, en 2005.
Malgré cet accroissement au niveau structurel et institutionnel, avec des subdivisions croissantes (trois groupes au championnat des clubs à partir de 1993, constituant 64 équipes), les chiffres reflètent une certaine baisse du nombre de clubs et de licenciés : 3907 sociétés et 167 049 licenciés en 1972, et seulement 2350 clubs et 64 900 licenciés en 2009.
- Site internet ;
- Boutique.
Chaîne TV sur le web : FFSB TV, sport-boules diffusion.
Brochure La Boule muroise a 90 ans.
Ouvrages :
COURTY, Jean-Michel & KIERLIK, Edouard. Jeux de boules creuses ou pleines. Dans : Pour La Science, n° 381, juillet, 2009 pp. 96-98.
COUVIER, René. Le sport boules de mes vertes années 1945-1968. Ed. René Cuvier 1983.
FOURNIER, Pierre. Le Sport boules. Ed. Bornemann, coll. Découvrir et pratiquer des sports, 1991. 84 p.
GODART, Justin. Anthologie du jeu de boules. éd. Cuvier, 1938.
LEROY, Pascal. Comment jouer et gagner à la Boule lyonnaise. Paris, éd. De Vecchi, 1993.
___________ Jouer aux boules – Règles et astuces pour bien jouer à la boule lyonnaise. Paris, éd. De Vecchi, 2005.
MOREAU, Yves. Jeux de boules en 1900. Paris, HC éd., coll. Images d’Antan, 2010, 96 p.
PELLET, Jean. Le jeu de boules lyonnais et son vocabulaire. Paris, éd. Bonneton, 1991.
PERRAT, Jean-Marc. Jean Vendrine – Droit au but, Bourg-en-Bresse. M&G. éditions, 2004, 240 p.
PETIOT, René & VARENNE, Philippe. Sport-Boules – Petites et grandes histoires de la boule lyonnaise. Saint-Etienne, édiLoire, 1995.
REESINK, Henk & Anne Martine. Jeu de Boules 3.000 ans d’Histoire… et d’histoires. Québec, 2004, éd. La Paix, 176 p.
VEYLON, Daniel. Le sport boules. Saint-Cyr-sur-Loire. éd. Alan Sutton, coll. Mémoire du Sport, 159 p. 2008
VIDAL, Armand. Dictionnaire du jeu de boules. Marseille, éd. Jeanne-Lafitte, 1990.
Presse :
Sport Boules Magazine, revue Officielle de la Fédération de SportBoules.
Le Bouliste Magazine, appelé jusqu’en 1974Le Bouliste et le Pétanqueur.
Sites Internet :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sport-boules
http://www.ffsb.asso.fr/page.php?P=fo/public/menu/gestion_front/index&id=72
http://artpjm2.free.fr/historique-sport-boules-9
http://www.cbd16.fr/historiquedelabo/index.html
http://www.laboulebleue.fr/le-jeu-de-boulesEs32
Nom et rôle et/ou fonction de la personne rencontrée :
Benoist Guillaume, Directeur du Musée Matheysin, La Mure d’Isère Laurent Zambelli, président du Club de Boule Lyonnaise de la Mure d’Isère.
Municipalité, vallée, pays, communauté de communes, lieu-dit... :
La mure d’Isère, Isère, Rhône-Alpes.
Adresse : Maison Caral, rue Colonel Escallon.
Ville : La Mure d'Isère.
Code postal : 38350
Téléphone : 04 76 30 98 15
Adresse de courriel : musee.matheysin@wanadoo.fr
Site Web : http://www.ffsb.asso.fr/
Dates et lieu(x) de l’enquête : Juillet 2012, Isère.
Date de la fiche d’inventaire : 31 juillet 2012.
Nom de l'enquêteur ou des enquêteurs : Karine Michel.
Nom du rédacteur de la fiche : Karine Michel, Ingénieur de recherche – Université de Nantes.
N° d'inventaire Ministère Culture : 2012_67717_INV_PCI_FRANCE_00269
Identifiant ARK :ark:/67717/nvhdhrrvswvk2kp
Comment contribuer à l'inventaire : la méthode : http://pcilab-new.huma-num.fr/contribuer
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