Tailleur sur-mesure pour homme et dame.
André Guillerme est un maître tailleur qui exerce une activité de tailleur sur mesure pour homme et dame.
L’entreprise Guilson est située dans le 8ème arrondissement de Paris. André Guillerme est un maître tailleur qui exerce une activité de tailleur sur mesure pour homme et dame. Il est spécialisé dans le haut de gamme et travaille avec une clientèle essentiellement masculine.
Le travail à la main dans le métier de tailleur n’évolue pas avec le temps; seules les coupes évoluent en fonction de la mode (aujourd’hui, les personnes s’habillent différemment). Le tailleur est en contact privilégié avec le client. Il lui apporte conseils et l’aide à choisir le tissu et le modèle qui convient. Il prend les mesures nécessaires pour la confection du vêtement et coordonne le travail. Il doit être précis dans les gestes, avoir le souci du détail, faire preuve de patience et avoir un esprit créatif. Un bon tailleur maîtrise l’ensemble des savoir-faire correspondant au métier. Dans les grands ateliers, ce travail est généralement exécuté par des ouvriers spécialisés:
- Le coupeur trace et coupe le patronage en fonction des mesures prises par le tailleur pour ensuite s’en servir lors de la coupe du vêtement. Il rectifie également les patronages des clients réguliers en fonction de leurs changements morphologiques.
- Le saladeur reçoit la pièce de vêtement du coupeur et prépare la «bûche», c’est-à-dire les fournitures nécessaires à la fabrication du vêtement (doublures, sacs de poches, boutons, etc.). Il transmet ensuite cette bûche à l’apiéceur, au culottier ou au giletier.
- L’ apiéceur assemble et façonne le veston. Il réalise le veston jusqu’au 2ème essayage. Il peut aussi terminer le veston, selon la demande du tailleur.
- Le culottier assemble le pantalon.
- Le giletier assemble le gilet.
- Le boutonniériste réalise les boutonnières à la main sur toutes pièces du vêtement.
Les techniques utilisées par l’entreprise Guilson sont restées traditionnelles et l’essentiel du vêtement est exécuté à la main avec les prises de mesures, la coupe du vêtement, sur toile ou directement dans le tissu, le montage, l’essayage, la retouche et la finition. André Guillerme commence par prendre les mensurations nécessaires du client (environ une quinzaine de mesures). Parmi les liasses d’échantillons disponibles dans l’atelier, le client choisit le tissu qui lui convient. Le maître tailleur écoute son client; il sait mettre en valeur sa silhouette avec un vêtement personnalisé. Il commande ensuite le tissu souhaité auprès de ses fournisseurs anglais et italiens. Après avoir tracé le patronage d’après les mesures du client, trois essayages sont nécessaires pour réaliser le vêtement. Le premier essayage est réalisé sur toile. A la suite de quoi, toutes les rectifications nécessaires seront portées sur cette toile (le maître tailleur a donc l’œil averti pour repérer les particularités morphologiques du client). Lors du deuxième essayage, le col et les manches sont réglés sur le client, avant d'être piqués et montés à la main. La troisième et dernière visite présente la tenue finale au client. La réalisation complète d’un costume nécessite environ 70 à 80 heures de travail.
Le choix des tissus est noble avec le cachemire, la pure laine ou le pashmina par exemple qui proviennent principalement de fournisseurs anglais et italiens. Les tissus proviennent également de ces fournisseurs étrangers car les drapiers sont très rares aujourd’hui en France; aujourd’hui, seul trois drapiers subsistent encore. Pour les fournitures utiles au métier, elles sont souvent très chères compte tenu de l’absence de concurrence sur le marché (très peu d’entreprises sont situées à Paris).
La réalisation des vêtements se fait sur mesure de façon traditionnelle et est exécutée à la main. Ce sont les outils de base qui sont utilisés pour la couture avec par exemple les ciseaux de grandes tailles pour la coupe, les différentes règles et équerres, les demi-lunes, les jeannettes, les tampons aux formes diverses, les planches et les fers à repasser de cinq à sept kilos, etc.
Les machines à coudre sont utilisées uniquement pour les grandes coutures principales (le piquage des épaules et le piquage sur les côtés par exemple).
Le tailleur réalise des vêtements haut de gamme sur-mesure pour hommes et dames avec des tissus nobles que le client aura préalablement choisis au sein de l’atelier en fonction de ses goûts et exigences.
André Guillerme a souhaité évoluer dans un univers de luxe et travailler avec une clientèle aisée. Il a fait le choix de s’installer dans un quartier parisien de luxe, le huitième arrondissement de Paris, qui s’est avéré être l’ancien quartier historique des tailleurs. Il a préféré travailler en boutique et non en appartement comme cela se fait pour certains de ses confrères (les appartements sont généralement plus discrets que les boutiques parce qu’ils accueillent une clientèle principalement médiatique).
L’entreprise Guilson est un atelier-boutique de 90m² qui se compose de deux niveaux. Au rez-de-chaussée dans sa boutique d’une superficie de 60m², André Guillerme réalise les opérations de coupe et les essayages. Sur une grande table en chêne on peut voir des livres anciens évoquant les techniques traditionnelles du travail à la main. Sont également éparpillés deci-delà les outils de base pour la couture (ciseaux, règles ou règles courbes, équerres, etc.). De même, des patrons de clients suspendus et des fiches de prises de mesures des clients dans des casiers. Sur des bustes, des costumes sur-mesure terminés ou en cours. Des machines à coudre et quelques fers à repasser sont déposés en pièces de collection dans la boutique. Sur les étagères sont disposés des échantillons de tissus: super 130, 150, 180, cachemire, ou pashmina (que des tissus de luxe) qui proviennent principalement de fournisseurs anglais et italiens. Au sous-sol, une salariée en contrat de professionnalisation travaille dans un atelier de 30m².
On y trouve quelques machines (piqueuses ou surfileuses et divers outillages: les demi-lunes, les fers à repasser, les jeannettes, les tampons etc.).
La passion pour le métier de tailleur lui a été transmise par sa mère couturière. Dès l’âge de huit ans, André Guillerme, dernier d’une famille de trois enfants se passionnait pour la couture. C’est à l’âge de quatorze ans qu’il a suivi un apprentissage de tailleur dans une école pendant trois années avant de suivre des cours de coupe à l’Académie de coupe Ladeveze Darroux.
Après deux ans passés chez différents tailleurs en tant qu’apprenti, il fait son service militaire dans l’armée de l’air dans le service habillement. En plus des uniformes, il réalise aussi des costumes de ville. Il se constitue peu à peu une clientèle de particuliers puis perfectionne ses techniques avant de s’installer à son compte. L’entreprise détient un savoir-faire qui est difficilement accessible uniquement par les voies de formation normale (CAP, BAC Pro). Ce savoir-faire nécessite aussi une formation en entreprise pendant de longues années. André Guillerme a à ce jour une cinquantaine d’années d’expérience et de pratique. Il est confronté aujourd’hui à la raréfaction de son métier puisqu’il a assisté à la fermeture de quatre ateliers de tailleur dans le quartier du huitième arrondissement de Paris en seulement dix années. Il constate que les tailleurs partis à la retraite ne sont pas remplacés. Faute de formation, le savoir-faire n’est pas transmis et disparait progressivement. Trop rarement, néanmoins, il arrive qu’un tailleur, avant de partir à la retraite, s’associe avec un jeune et l’accompagne deux ou trois ans dans le but de lui transmettre son affaire et sa clientèle.
Par sa fonction de Président de la Chambre Syndicale de Paris et de Président de la Fédération Nationale de France, André Guillerme a décidé il y a une dizaine d’années, en concertation avec d’autres tailleurs, de remédier à cette lacune dans la formation en montant une association pour encourager la transmission de son métier. Il a donc crée un centre de formation au métier tailleur sur mesure pour homme: l’Association Formation Tailleur. D’ailleurs, André Guillerme a embauché cette année en contrat de professionnalisation une jeune fille issue de cette formation.
L’Association Formation Tailleur1 est installée depuis 2005 au 167, rue Victor Hugo, dans le 16e arrondissement de Paris. Elle a pour objectif de répondre aux attentes techniques des futurs employeurs. Elle reçoit entre quinze et vingt étudiants par an qui se forment sept heures par jour aux techniques traditionnelles du métier pendant deux années. Il faut de 5 à 10 ans de pratique pour maîtriser les techniques du métier. L’Association Formation Tailleur est un cours privé exclusivement basé sur l’apprentissage de la technique et qui ne dispense pas d’enseignement général. Il forme en adéquation avec les besoins du marché dont l’objectif est de former la main d’œuvre qualifiée en 10 à 20 mois.
- 1ère année : acquisition des techniques de réalisation d’un veston (piquage et montage de toiles, poches, doublures, manches, etc.) au deuxième essayage (sans le col et les manches)
- 2ème année : perfectionnement, montage du col et des manches, et réalisation d’un pantalon et d’un gilet.
Des stages de courte durée sont organisés pour les professionnels désireux de se perfectionner dans la prise de mesures et morphologie, la coupe de veston et pantalon, ou encore les retouches. Par ailleurs, la moyenne d’âge des étudiants de cette école se situe entre 20 et 30 ans. En général les plus jeunes ne reçoivent aucun financement pour leur formation et comme l’AFT, par son système d’enseignement unique en son genre, ne reçoit elle-même aucune aide financière, la formation est donc payante.
Les autres principaux établissements de formation2 :
- L’Académie Internationale de Coupe de Paris créé en 1830 par les tailleurs forme des spécialistes du modèle femme et homme. Elle dispense d’une formation en contrat de professionnalisation de Modéliste International du vêtement (niveau III, 2 ans, 1300 heures). On y apprend la coupe à plat, le moulage, le patronage, la gradation, le montage, la retouche, la mise au point d’une fiche technique, l’anglais technique et la CAO (conception assistée par ordinateur).
- L’École de la Chambre Syndicale de la Couture Parisienne dispense un CAP tailleur homme (niveau V, 2 ans). Il s’agit d’un apprentissage. La formation théorique est assurée par le CFA, les cours étant suivis en commun avec les élèves du CAP flou. La formation pratique s’effectue au sein de l’entreprise. Cette école dispense également un BM vêtements sur mesure, option tailleur homme, niveau IV, 28 mois.
- Le Greta de la Mode propose un module Tailleur de 6 mois (160 heures) ouverte en 2009. Cette formation s’adresse aux salariés, individuels et demandeurs d’emploi qui possèdent déjà des bases de couture ainsi que des notions de tracé plat et moulage. L’objectif est de savoir réaliser deux vêtements hommes : la veste et le pantalon. Le prix de la formation s’élève à 2080 euros.
- Le Lycée Paul Poiret dispense un DMA costumier-réalisateur, niveau III pendant 2 ans. Cette formation de costumier a la particularité de bénéficier des enseignements d’un professeur tailleur qui accompagne les jeunes se destinant au monde du spectacle. La technique côtoie donc la création et la recherche historique pour permettre de découvrir les spécificités du métier et d’entamer une spécialisation. La scolarité est gratuite. Le Lycée Paul Poiret proposera en 2010 une formation complémentaire tailleur, niveau IV pendant un an. La spécialisation sera destinée aux titulaires d’un Bac pro métiers de la mode, d’un DMA costumier-réalisateur, d’un DTMS spectacle option habillage, etc. L’enseignement comporterait une dizaine d’heures de pratique par semaine ainsi que deux heures d’arts appliqués.
2 Magazine Métiers d’Art, Dossier "Tailleurs : la grande mesure de l’élégance masculine", N°250, mars-avril 2010.
Le métier de tailleur est un des plus anciens métiers du monde.
Au Moyen-âge, les différents corps de métier étaient regroupés en corporations. Chacune d’entre elles jouissait du droit exclusif d’exécuter un nombre de travaux déterminé. Ainsi, seuls les maîtres-tailleurs avaient le droit de "couper". Ce travail, surnommé la "taille", donne son nom à une profession où l’artisanat et l’art se confondent pour donner naissance à un vêtement élégant et de qualité…
La corporation des tailleurs d’habits se composait d’apprentis-ouvriers, de maîtres et de jurés. Ces jurés étaient des magistrats, nommés par les membres du corps pour gérer leurs affaires, inspecter les ateliers, recevoir les ouvriers et maîtres après examens, et sur la présentation d’un ouvrage appelé "chef d’œuvre".
Cette corporation fut abolie, comme toutes les autres corporations, par un décret de l’Assemblée Nationale du 17 mars 1791. Le corps de métier des Maîtres-Tailleurs retrouva une forme d’association patronale à la naissance de la Société Philanthropique, le 20 février 1834. Chargée d’apporter un support financier à ses membres, de diffuser un album de gravures et un bulletin d’information chaque saison, elle devient la première organisation de promotion du métier. Par la suite, différents organismes apparaissent et structurent la profession : de la Chambre Syndicale des Maîtres-Tailleurs de Paris à la Fédération Nationale des Maîtres-Tailleurs de France et des Colonies, apparue en 1881. Ses membres étaient animés par l’unique pensée qu’en exerçant ce métier, ils travaillaient un peu pour la France, son histoire, sa culture…
Quelques points historiques clés du métier de tailleur3 :
- 1402 : naissance de la Confrérie des tailleurs.
- 1655 : union des tailleurs et des pourpointiers.
- 1675 : Louis XIV autorise les couturières à travailler pour les femmes.
- 1791 : suppression des corporations.
- 1830 : première méthode de coupe de Ladevèze et invention de la machine à coudre.
- 1955 : la loi protège l’appellation "tailleur".
- 2010 : la France compte environ 150 ateliers de tailleurs.
3 Métiers d’Art, Dossier "Tailleurs : la grande mesure de l’élégance masculine", N°250, mars-avril 2010.
André Guillerme est installé à son compte depuis 50 ans. Il a exercé dans différents quartiers de Paris, d’abord dans le 9ème arrondissement en 1959 lorsqu’il a repris une activité de tailleur en gérance. En 1973, il a connu une période de flottement et a travaillé pendant une année en tant que vendeur dans une boutique de luxe. Puis il a décidé d’ouvrir sa boutique du nom de "Guilson" rue Boissière, dans le 16e arrondissement de Paris. Il y est resté 25 ans, puis, en 1998, il a emménagé dans le 8e arrondissement.
- Plaquette
- Guide
- Portes-ouvertes
- Exposition
- Site internet
- Boutique
- Foire / Salon
- Label Entreprise du Patrimoine Vivant
- Réseau de professionnels
André Guillerme est président de la Fédération Nationale des Maîtres Tailleurs de France, de la Chambre Syndicale des Maîtres Tailleurs de France et de l'Association Formation Tailleur.
- Fédération Nationale des Maîtres Tailleurs de France (FNMTF)
3, rue Saint Philippe du Roule – 75008 Paris
Tél. : 01 45 62 33 16
Fax : 01 45 62 33 12
fnmtf@aol.com
fnmtfrance@gmail.com
- Chambre Syndicale des Maîtres Tailleurs (CSMT)
3, rue Saint Philippe du Roule – 75008 Paris
Tél. : 01 45 62 33 16
Fax : 01 45 62 33 12
- Association Formation Tailleur (AFT)
167, avenue Victor Hugo – 75116 Paris
Tél. : 01 45 53 24 40
Fax : 01 45 53 31 59
aftailleur@gmail.com
Le Congrès Mondial des Maîtres Tailleurs
Ce congrès est réalisé tous les deux ans pour rassembler les tailleurs entre eux afin d’échanger sur le métier et se tenir au courant des actualités. Parfois plus de vingt pays sont représentés ; ces pays proposent des modèles de comparaison de leur savoir-faire.
Le Carrousel des Métiers d’Art et de Création
Ce salon grand public est organisé tous les deux ans à Paris par la Chambre Régionale de Métiers et de l’Artisanat et la Région Ile-de-France. Il vise à valoriser le savoir-faire des artisans d’art franciliens.
L’entreprise est valorisée dans plusieurs guides de publication :
- Le Guide du luxe
- RIBES TIPHAINE Adrienne, 2003. Paris sur mesure, guide broché.
- LECHEVALIER C., 2003. Chic au Masculin, édition Hachette.
Actions réalisées :
- Défilé à la Mairie de Paris en 1998.
- Congrès Mondial à Paris en 2001.
L’entreprise Guilson est inscrite sur l’Inventaire du patrimoine culturel immatériel du Ministère de la Culture. Elle a été labellisée "Entreprise du Patrimoine Vivant" en mars 2006.
- Centre de ressources de l’Institut National des Métiers d’Art (INMA)
23, avenue Daumesnil – 75012 Paris. Tél. : 01 55 78 85 85. info@eurosema.com
- Fiche métier SEMA "Tailleur-couturier", Janvier 2006 – MO.2, Centre de Ressources SEMA
- Magazine Métiers d’Art, Dossier "Tailleurs : la grande mesure de l’élégance masculine", N°250, mars-avril 2010
- HUMBERT Jacqueline et Raymond, 2004. Métiers Oubliés, E.P.A – Hachette.
- Association Formation Tailleur
- Guilson
- Livres anciens sur le métier
Il n’existe pas de mesures de sauvegarde spécifique au métier de tailleur.
Aujourd’hui en France on compte un maximum de 150 tailleurs dont 35 professionnels syndiqués répartis principalement autour de la région parisienne (avec la présence de quelques tailleurs en province à Strasbourg, Lyon, Rouen, Angers). Ce métier était pratiqué auparavant en France par près de dix mille tailleurs ; le 8e arrondissement de Paris était l’ancien quartier des tailleurs.
Aujourd’hui, le secteur est dominé par des artisans hautement qualifiés capables de satisfaire une clientèle aisée et relativement âgée. Beaucoup de jeunes, lassés d’acquérir du prêt-à-porter de luxe parfois aussi cher que la mesure, se laissent tenter d’abord par la mesure industrielle (ou demi-mesure), puis, lorsqu’ils en ont les moyens, se tournent naturellement vers la grande mesure. Les habitudes d’élégance vestimentaire évoluent (on ne s’habille plus pour les sorties du soir par exemple, les cadres ont moins d’obligations vestimentaires strictes).
Cependant, compte tenu de l’existence d’une clientèle qui cultive encore aujourd’hui le culte du "sur-mesure", le métier de tailleur reste porteur d’emplois. Il s’agit d’un produit de luxe prisé par une clientèle prête à venir du monde entier pour l’acquérir. Le secteur recherche des professionnels qualifiés principalement en région parisienne. Le manque de main d’œuvre ne permet pas aujourd’hui de répondre aux exigences de cette clientèle. Les débouchés sur le marché du travail sont difficiles puisque seuls les meilleurs tailleurs sont sélectionnés. Par ailleurs, les ateliers sur-mesure n’existent pratiquement plus dans les grandes maisons de luxe ; certains apprentis tailleurs possèdent des connaissances théoriques générales encore insuffisantes pour ces maisons.
Personne(s) rencontrée(s)
- André Guillerme, maître Tailleur, dirigeant de l’entreprise Yasna et André Guillerme Guilson
Localisation (région, département, municipalité)
France, Ile-de-France, Paris
Adresse : 3, rue Saint Philippe du Roule
Ville : Paris
Code postal : 75008
Téléphone : 01 45 62 33 16
Adresse de courriel : guilson1@aol.com / guilsontailleur@gmail.com
Site Web
Dates et lieu(x) de l’enquête : 7 octobre 2009
Date de la fiche d’inventaire : 15 octobre 2009
Nom de l'enquêteur ou des enquêteurs : Lamia Gabriel et Francesca Cominelli
Nom du rédacteur de la fiche : Lamia Gabriel et Francesca Cominelli
Nom du photographe : Lamia Gabriel et Francesca Cominelli
N° d'inventaire Ministère Culture : 2009_67717_INV_PCI_FRANCE_00063
Identifiant ARK : ark:/67717/nvhdhrrvswvk2rq
Comment contribuer à l'inventaire : la méthode : http://pcilab-new.huma-num.fr/contribuer
Accéder à la fiche sur Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tailleur
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